Le viol, les États-Unis et la bondieuserie de Laïcité

J’aimerais souligner que Radio-Canada, Première Chaîne m’a appris ce matin que dans 19 états des États-Unis… un violeur dont la victime a choisit de garder l’enfant peut demander la garde légale de ce dernier. Comme dans «Hey! Poupée! J’ai pas eût assez de t’prendre de force, on va s’revoir jusqu’à ce que l’kid soit adulte» *clin d’oeil**clin d’oeil*… «ou bah tu l’abandonnes entre mes mains» *rire machiavélique*

Pis ça, ces Américains-là, ça s’permet d’aller dire aux autres pays comment traiter mieux les femmes? 

On est foutrement loin de l’égalité, du respect et de la compréhension mutuelle, si vous voulez mon avis. 

Ça m’enrage. 

Pis là, j’pense à la Charte de la laïcité du PQ… mais surtout, à ce désir patent, ironiquement presque déifié, de Maîtresse la Laïcité, Mère Solution de tous les problèmes du monde. 

J’cogite et j’vous reviens…

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2 commentaires pour Le viol, les États-Unis et la bondieuserie de Laïcité

  1. Symnd dit :

    Quand on a mis le clergé dans porte, le politique a repris la place laissée par le clergé. Et administre l’état de la même manière que feu le clergé. C’est encore plus vrai au états-unis puisque ça toujours été comme ça depuis le départ.

    Coupons la tête du roi (dieu-sur-terre), faisons une république (Peuple), maintenant quoi vu que le peuple est devenu dieu-sur-terre?

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